LES EXPOSITIONS PRECEDENTES DU CARREFOUR DES ARTS



Au Péristyle, Le GEMMAIL,

Au Théâtre, Véronique OGNAR, artiste plasticienne,
Au Grand Salon, Sezny PERON, sculpteur,
Au Petit Salon, Christian FAUCOUIT, peintre,
Au Grenier des peintres, Marc FOLLY, peintre aquarelliste,
Dans l'Envolée, Arnaud RODAMEL, photographe

Cette exposition est particulière à plus d'un titre.
D'abord nous sommes à un an du trentième anniversaire, un événement marquant dans l'histoire du Carrefour des Arts, et de Lalouvesc.

Ensuite, nous accueillons à nouveau le GEMMAIL, un ravissement pour nos visiteurs qui en gardent un souvenir ému, et pour tous les autres la découverte d'une exposition unique en Europe.

Nous avons le plaisir de retrouver Marc FOLLY qui nous présentera ses nouvelles créations.

Ils seront accompagnés de quatre artistes originaux aussi bien dans leurs inspirations que dans leurs modes d'expression.

C'est donc encore une fois un rassemblement d'artistes d'exception, de grande renommée, réunis ensemble pour le grand bonheur de nos visiteurs chaque année plus enthousiastes.
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Au Péristyle

Le GEMMAIL


Le GEMMAIL trouve sa place entre le vitrail et la peinture.
Il a en commun avec le vitrail son matériau ainsi que la lumière qu’il utilise de la même façon, c'est-à-dire en la plaçant derrière l’œuvre afin d’obtenir un effet de transparence.

Alors que la réalisation du vitrail se fait par juxtaposition de fragments de verres colorés, la grande innovation du GEMMAIL est d’avoir ajouté la superposition des fragments à la juxtaposition en se libérant du sertissage des plombs du vitrail.
Cette superposition autorise des mélanges de couleurs d’une richesse extraordinaire ainsi que de matières subtiles.

Cette technique permet d’affirmer que le GEMMAIL est plus proche de la peinture que du vitrail.

La page du Gemmail sur ce site






Au Théâtre

Véronique OGNAR, artiste plasticienne,


Depuis une vingtaine d’années, Véronique OGNAR se concentre sur les interactions entre lumière et matière en réalisant des tableaux et des volumes dans lesquels sont intégrés des éléments de verre.

Un incendie fin Février 2014 a détruit en totalité son atelier. Afin d’exorciser cet évènement violent, elle a repensé le « Shou Sugi Ban », méthode traditionnelle Japonaise de préservation du bois par carbonisation, et a associé ce bois brûlé au verre qui est son matériau d’expression et qui symbolise la fragilité humaine.





Au Grand Salon

Sezny PERON, sculpteur,

Sezny PERON utilise l'ardoise des toits. Il aime leur bleu aux nuances affinées par les ans, leurs lignes de surfaces, leur vibration dans le tranchant, leur dureté de roche, leur fragilité de feuille.

Il les place dans un environnement sobre, noir, les incitant à créer des chemins, des creux, des vides, des flux, des souffles internes. En passant de l’état de feuille à l’état de bloc, elles racontent leurs origines. En dévoilant un peu de leur histoire, elles aident à écrire la sienne.


Au Petit Salon

Christian FAUCOUIT, peintre,

Au fil du temps, sa formation aux Beaux-Arts et sa passion pour la restauration de tableaux, ont conduit Christian FAUCOUIT à collectionner des œuvres. Il ne le fait pas dans l'esprit du possédant, mais pour faire partager ses découvertes, ses coups de cœur, à un large entourage. Il prend alors conscience du rôle que peut avoir le collectionneur dans la transmission de la connaissance. Il se prend à rêver d’une chaîne ininterrompue reliant l'œuvre et les hommes. Le principe de la "CONNEXION" était né.

Conçues de façon à être toutes physiquement reliées entre elles, ses peintures fractionnables constituent une œuvre ininterrompue qui s'enrichit à chaque nouvelle création. Une peinture prélevée de cet ensemble en garde des traces structurelles qui marquent définitivement son appartenance. Chaque possesseur d'oeuvre se trouve ainsi relié mentalement à tous les autres détenteurs, créant ainsi un réseau, un champ pictural nouveau et illimité.







Au Grenier des peintres

Marc FOLLY, peintre aquarelliste,

La peinture de Marc FOLLY s’élabore désormais de manière moins dessinée. Il part dans des taches et des formes plus abstraites qu’auparavant. Mais ce n’est sans doute là qu’un paradoxe en apparence, car s’il est prompt à partir dans l’humide, à brouiller les contours à l’aide d’un pinceau humide ou à projeter de la couleur pure, c’est avant tout parce que sa peinture repose sur le canevas d’un dessin dont les lignes de force sont établies au départ, en trois étapes primordiales : le dessin, les valeurs par le biais de la grisaille, la mise en couleurs.

Il envisage le dessin comme une liberté. Une fois qu’il est posé, la peinture peut acquérir plus d’autonomie. On est libre de se concentrer sur les autres aspects du tableau. Ensuite, je joue avec les valeurs et les couleurs, ce qui permet d’une certaine manière d’avoir une grande marge de manoeuvre. C’est une manière de faire très classique qu’on trouve dès la Renaissance.






Dans l'Envolée

Arnaud RODAMEL, photographe.


Originaire de Noirétable dans le département de la Loire, Arnaud RODAMEL parcourt l'Afrique de l'Ouest, notamment le Mali et le Burkina Faso, depuis 2003. La plupart du temps, il voyage seul préférant, plutôt que de survoler hâtivement les sites touristiques les plus prisés, s'immiscer dans des villages hors des sentiers battus pour prendre le temps de palabrer avec ses familles d'accueil.

De ses périples maliens, tous effectués dans la région de Tombouctou, il ramène des photographies qui témoignent d'une région rurale aux croyances ancestrales confrontée presque du jour au lendemain au modernisme que seul un « globe-rêveur » non pressé peut saisir. Son rapport avec les populations locales lui permet de retenir l'essentiel : la sincérité et la générosité de tout un peuple.


Le bilan  de l'exposition 2017 (pdf)

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